PREMIÈRE LUEUR

Cela fait 28 ans cette année que Michel Noir, alors maire de Lyon, décide avec la municipalité de mettre en lumière certains monuments de la ville lors de la fête du 8 décembre. Il change ainsi la célébration traditionnelle, d’origine religieuse, qui se tenait dans la capitale des Gaules depuis 1852. Dès lors, la fête devient donc un spectacle.

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Mais qui compose ce spectacle ?

1989, l’année où Michel Noir lance ce nouveau format, correspond aussi aux débuts de la mondialisation. Avec la quasi-suppression des frontières entre les pays membres de l’Union Européenne, le nombre de visiteurs étrangers a forcément augmenté par rapport à « l’ancienne » fête des Lumières.

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Jusqu'où la mondialisation s'est-elle immiscée dans la célébration ?

Artistes, bénévoles, ou visiteurs, bien malin qui peut dire aujourd’hui si ces acteurs de la Fête des Lumières sont Lyonnais, de la région, de l’Hexagone ou bien d’ailleurs. 

Mais la mondialisation va aussi dans l’autre sens. Des Lyonnais partent de la capitale des gaules sans oublier leurs traditions.

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Se contentent-ils d’allumer une bougie à leur fenêtre le soir du 8 décembre, ou trouvent-ils le moyen de faire la fête des Lumières à plusieurs centaines de kilomètres de distance ?

Voilà ce que nous voulons vous montrer. Nous ? C’est une équipe de 7 étudiants en journalisme de l’ISCPA Lyon, qui va remuer ciel et terre avant et pendant l’édition 2017 pour répondre à cette question « La Fête des Lumières s'est-elle internationalisée ? »

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LA RÉDAC'